Avantages & tares : Différence entre versions
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| − | Le nombre de points que coûte un privilège, ou que rapporte une tare, est calculé d'après une formule de type | + | Le nombre de points que coûte un privilège, ou que rapporte une tare, est calculé d'après une formule de type : |
| + | (modificateur + gêne) × fréquence × facteur personnage | ||
| − | + | Le ''modificateur'' est le potentiel bonus ou malus apporté par l'avantage ou la tare. La ''gêne'' mesure la gravité ou la puissance, par nature, du privilège ou de la tare. Par exemple, elle mesure si l'on est ami avec un mendiant des rues ou avec un commissaire, ou si la phobie que l'on a des lapins bleus des neiges est une simple peur ou une panique démentielle. | |
| − | La '' | + | La ''fréquence'' mesure la fréquence (sans blague ?) à laquelle le privilège ou la tare pourra intervenir dans un scénario-type : combien de fois le personnage, dans le cadre de la campagne et dans le temps d'un scénario moyen, rencontrera-t-il un lapin bleu des neiges ? Combien de fois aura-t-il la possibilité de s'adresser à son ami commissaire ? |
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| + | Pour un certain nombre de tares ou de privilèges, il faut également prendre en compte le degré d'exposition du personnage à cet élément, et l'importance que cela a dans son cas particulier : cela est représenté par le « ''facteur personnage'' ». Par exemple, une phobie du lapin bleu des neiges est plus gênante pour un guide de montagne que pour un égoutier ; l'amitié d'un commissaire a plus d'importance pour un policier ou un criminel que pour un peintre impressionniste. | ||
L'échelle de base est la suivante : | L'échelle de base est la suivante : | ||
* Pour l'''intensité'' des tares ou des privilèges, il faut additionner : | * Pour l'''intensité'' des tares ou des privilèges, il faut additionner : | ||
** Si la tare ou le privilège donnent lieu à un bonus ou malus, une valeur égale à ce bonus ou malus ; | ** Si la tare ou le privilège donnent lieu à un bonus ou malus, une valeur égale à ce bonus ou malus ; | ||
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| + | == Exemples de tares == | ||
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| + | * Main de fer : 200# [10 (malus aux actions utilisant la main remplacée) + 10 (tare problématique potentiellement dangereuse)] × 10 (fréquence maximale possible) | ||
| + | * Claustrophobie : | ||
| + | ** Malus : être à l'intérieur dérange profondément le personnage, le malus est de -5% à toutes les actions. | ||
| + | ** Gêne : gênant mais pas au point d'être dangereusement problématique (5). | ||
| + | ** Fréquence : dépend des campagnes, si l'on considère que l'on est à l'intérieur la moitié du temps, la fréquence est de 5. | ||
| + | ** {{formule|<nowiki>(5 + 5) × 5 = 50</nowiki>}}, qu'il faudra multiplier par le ''facteur personnage''. | ||
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| + | == Exemples d'avantages == | ||
Version actuelle datée du 28 décembre 2009 à 21:45
Pour l'ancienne version toute nulle, voir Avantages & désavantages (vieux).
Système de base
Le nombre de points que coûte un privilège, ou que rapporte une tare, est calculé d'après une formule de type :
(modificateur + gêne) × fréquence × facteur personnage
Le modificateur est le potentiel bonus ou malus apporté par l'avantage ou la tare. La gêne mesure la gravité ou la puissance, par nature, du privilège ou de la tare. Par exemple, elle mesure si l'on est ami avec un mendiant des rues ou avec un commissaire, ou si la phobie que l'on a des lapins bleus des neiges est une simple peur ou une panique démentielle.
La fréquence mesure la fréquence (sans blague ?) à laquelle le privilège ou la tare pourra intervenir dans un scénario-type : combien de fois le personnage, dans le cadre de la campagne et dans le temps d'un scénario moyen, rencontrera-t-il un lapin bleu des neiges ? Combien de fois aura-t-il la possibilité de s'adresser à son ami commissaire ?
Pour un certain nombre de tares ou de privilèges, il faut également prendre en compte le degré d'exposition du personnage à cet élément, et l'importance que cela a dans son cas particulier : cela est représenté par le « facteur personnage ». Par exemple, une phobie du lapin bleu des neiges est plus gênante pour un guide de montagne que pour un égoutier ; l'amitié d'un commissaire a plus d'importance pour un policier ou un criminel que pour un peintre impressionniste.
L'échelle de base est la suivante :
- Pour l'intensité des tares ou des privilèges, il faut additionner :
- Si la tare ou le privilège donnent lieu à un bonus ou malus, une valeur égale à ce bonus ou malus ;
La fréquence est à moduler en fonction du type de campagne (déjà inclus dans le facteur personnage ?)
Exemples de tares
- Main de fer : 200# [10 (malus aux actions utilisant la main remplacée) + 10 (tare problématique potentiellement dangereuse)] × 10 (fréquence maximale possible)
- Claustrophobie :
- Malus : être à l'intérieur dérange profondément le personnage, le malus est de -5% à toutes les actions.
- Gêne : gênant mais pas au point d'être dangereusement problématique (5).
- Fréquence : dépend des campagnes, si l'on considère que l'on est à l'intérieur la moitié du temps, la fréquence est de 5.
(5 + 5) × 5 = 50, qu'il faudra multiplier par le facteur personnage.
